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Podcast on a toujours pas trouvé

Un podcast qui est venu de manière spontanée sur l’égo. A force de discussions éclairantes en privé, il nous fallait les partager. Eclairantes pour nous, nous espérons qu’elles le seront pour vous.

Retrouvez ici Jessie et Aurélie, des personnalités différentes qui se rejoignent sur le sujet fondamental de la conscience.

Nous cherchons à comprendre ce monde, ses fonctionnements pour se sentir toujours plus en accord avec cette vie malgré tous les défis et les obstacles qu’elle nous amène.

L’égo

Désolée par avance, c’était le 1er et le son est de mauvaise qualité. Mais nous ne pouvons nous empêcher de le diffuser.

Cliquez sur play pour écouter ou sur ce lien puis cliquez sur télécharger pour le recevoir sur votre appareil.

Vous pouvez l’écouter sur youtube

On entend souvent parler de l’égo dans les sphères professionnelles,  dans celles du bien être ou de la spiritualité.

Il est souvent mal vu : il ne faut pas être égoïste, ne pas avoir un ego surdimensionné…

Qu’est-ce que l’égo?

C’est une conscience identifiée au mental, celui qui raconte l’histoire, qui nous construit.

L’égo c’est le nid, la base sur laquelle on peut s’appuyer.

Qui veut se libérer ?

Si on veut s’en libérer c’est on considère qu’il nous emprisonne.

La question à se poser est :

« A quel moment est-il plus important que l’environnement qui nous entoure ? »

On entend même qu’il faut tuer l’égo. Est-ce qu’il est là pour nous faire du mal?

Il est là pour nous protéger mais parfois il nous fait souffrir. Ainsi donc quelque chose qui nous protège peut aussi nous faire souffrir. Il nous revient de trouver un équilibre entre souffrance et protection  pour garder notre espace de vie et de liberté.

Une surprotection permanente nous met dans un chemin désagréable.

Cet égo est indispensable, s’il n’est pas là, on vit sans personnalité.

En a-t-on envie ? 

Pour déjà fusionner avec les autres, ne faut-il pas déjà s’être rencontré soi ?

Se réconcilier avec l’égo peut permettre de se retrouver.

L’égoïsme n’est pas néfaste et il permet de rayonner pour les autres par rapport à ce que je me suis donné et autorisé.

Il faut penser à soi. David Lefrançois l’explique bien.

Exemple des mamans : une maman pas égoïste n’est pas une bonne maman. L’égoïsme permet de prendre soi, de s’aimer soi même  ce qui permet ensuite de prendre soi des autres ensuite.

 L’égo est indispensable mais  pourquoi s’en libérer ?

Des exemples d’égos mal positionnés : L’égo surdimensionné, la sous-estime et la sur-estime de soi

  • Nous avons l’exemple de la personne qui a beaucoup travaillé sur elle, qui prend conscience qu’elle peut guérir les autres et veut le faire avec tous : le fameux syndrome du sauveur.
  • Celui qui estime ne pas avoir de valeur et va chercher sa propre valeur chez les autres.
  • L’égo sous dimensionné et sur dimensionné sont mal positionné. Dans la manifestation
  • Le syndrome du vilain petit canard : il est dans l’auto dévaluation tout en ayant beaucoup d’estime de lui et veut se donner le rôle de gentil à l’extérieur. Cela peut l’amener à se plaindre. Or, s’il était simplement gentil avec lui-même, il réglerait une belle part de ses problèmes. 

Prendre du temps de recul sur les histoires qu’on se raconte, soulage beaucoup de problèmes. L’égo est un bon créateur de problème. Si l’histoire qu’on a envie de se raconter en contient, nous en aurons.

L’ego spirituel

Dans le monde de spiritualité,  l’égo est néfaste. En effet,  on est face à des personnes qui enseignent, qui ont reçu l’enseignement mais sans avoir expérimenté.

A l’heure actuelle, on a un besoin de satisfaire nos connaissances. Or, beaucoup transmettent le savoir sans avoir expérimenté.

Ce personnes qui n’ont pas envie de se libérer de l’égo devraient peut être s’en libérer.

On ne peut guérir  les autres que si nous nous sommes déjà guéris de nos propres blessures et on ne peut pas enseigner aux autres que si nous n’avons pas intégré l’enseignement. On ne peut enseigner que des expériences de vie, des choses que l’on a appris, qui sont dans nos gênes.

Ainsi même les personnes qui ne se disent pas intuitives ressentent un décalage entre le discours et la réalité, la vérité incarnée. On ne peut intégrer ce qui est juste de la parole.

Quelqu’un d’aligné entre ce qu’il veut et ce qu’il fait le fait  ressentir.

On ne peut pas être dans l’alignement permanent. Des événements font que notre égo bouge. Il faut réaligner quand c’est possible, en fonction de nos prises de conscience et se pardonner d être humain. 

Il y a toujours des réadaptations à faire.

Le temps doit être prêt pour ça, laissons la vie nous traverser.

C’est le trop qui est pathologique.

Comment réajuster son égo ?

Personnellement, je ne cherche pas à le faire. En effet, posons nous cette question : qui veut se réadapter c’est l’égo ?

La vie peut être agréable quand on ne cherche pas à faire.

On apprend on grandit en fonction des enseignements.

Entre quand et comment se réadapter ca se fait seul. Si on cherche à faire quelque chose à ce niveau ca se fait seul.

Comment amoindrir son ego surdimensionné ou comment valoriser un ego écrasé ? Comment réajuster quand on réalise que l’égo n’est pas à sa place ?

Quand on se rend compte du décalage, c’est déjà qu’on en a une certaine conscience.

On peut voir des rôles qui se rejouent, qui sont inutiles, périmés.  Les jeux se rejouent et n’ont pas de sens. Le voir peut suffire pour l’arrêter et sortir de sa prison.

Sur des sujets profonds, on est toujours amené à les travailler. Si on parle de la confiance en soi par exemple, c’est toujours à travailler. On constate son évolution grâce à la conscience des choses. Mais il n’y a que le passage à l’action qui permet d’avancer.

La peur est un exemple de manifestation de l’égo handicapante. La peur n’est qu’une question d’ego. Passer à l’action permet de ne pas se rendre compte qu’on va mourir.

Conclusion

L’égo ne doit pas être enfermé. Il cherche la survie. Dans un idéal, l’égo est relié à l’être car plus nous sommes centrés sur l’être, moins les hauts et les bas sont violents. C’est que nous appelons en général « être aligné ».

L’égo s ‘exprime dans les peurs ou le stress. Or si on se place sur l’être, on est dans la justesse.

Solutions

C’est l’amour qui va combattre la peur.

  • Envoyer l’amour à soi, se pardonner, prendre conscience de l ‘amour qu’on doit avoir pour soi
  • Aimer vous les uns les autres comme vous vous aimez vous-même

Si l’ego a trop de place, on ne peut pas s’aimer.

Clé 

– plutôt que chercher à se libérer de l’égo, mettons l’égo au service de la conscience plutôt que la conscience au service de l’égo

– pour pouvoir se libérer de l’égo, il faut arrêter de vouloir s’en libérer

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