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la manifestation de ses rêves avec Katarina Marinc

Bienvenue dans l’interview de Katarina Marinc au sujet de la manifestation de l’éveil. C’est la seule femme qui ait été interrogée jusqu’à ce jour. La petite partie féministe en moi a envie de vous dire « on gardait le meilleur pour la fin ». Vous le comprendrez après avoir avoir vu ou écouté l’entretien.

C’est en quelque sorte le cas car de merveilleux cadeaux nous sont dévoilés. Katarina nous apprend à manifester la vie de nos rêves. Elle nous raconte tout son parcours qui l’a aidé à intégrer tous ses enseignements.

Présentation de Katarina

Je m’appelle Katarina, je suis slovène. La Slovénie, c’est un petit pays à côté de l’Italie et de l’Autriche. Ca fait 8 ans, un peu plus, que j’habite en France parce que mon compagnon Jérôme est français.

Je donne beaucoup de cours, surtout en Slovénie. Mais c’est l’année prochaine que je vais me lancer de nouveau plus dans la francophonie et anglophonie.

Ça fait 30 ans que je travaille sur moi ou que je partage les connaissances. Je peux dire que ma grande passion, c’est d’enseigner. J’ai commencé à enseigner déjà comme étudiante. J’enseignais le français et l’anglais aux enfants pendant 18 ans. Après, j’ai développé mes propres méthodes. J’ai enseigné aussi près de Montessori et Steiner, aux enfants de 3 ans jusqu’à 18 ans. J’ai cherché toujours à comment trouver le potentiel d’un enfant et comment faire pour ne  pas juste apprendre le français et l’anglais, mais être de bonnes personnes.

 Pendant la moitié de cette carrière, je suis tombée très malade. J’avais 30 ans. J’’ai commencé à chercher comment survivre parce que c’était assez grave. Mon enfance était très difficile et  ma mère était très malade. Alors, à partir de l’âge de 4 ans,  je suis devenue adulte autant que c’est possible pour un enfant.

Comment aider quelqu’un et comment tout ce qu’on vit nous influence ? C’était depuis mon enfance que j’observais ça. Mais pour vraiment travailler sur soi, j’ai commencé par lire les livres de l’éveil, pour vraiment essayer de me guérir. Ça fait maintenant 22 ans. Et la première chose que j’ai faite, c’était  les initiations à des rayons de guérison des planètes. C’était une femme anglaise qui venait en Slovénie. C’est un système un peu semblable à au reiki. Et vraiment, j’ai commencé juste pour me soigner, pour poser les mains sur mon corps moi-même. Je ne savais pas qu’un jour j’allais être thérapeute multi thérapeute et plein d’autres choses que j’aime faire maintenant. Après, j’ai étudié les fleurs de Bach. Je suis devenue thérapeute des fleurs de Bach.

J’ai commencé à voir l’Aura des gens, leurs subconscients, leurs histoires. Et heureusement que j’étais dans un groupe où on se donnait de soins l’un et l’autre parce que sinon, je pense que j’aurais beaucoup douté de tous les toute l’intuition qui s’est ouvert davantage. Même si euh, depuis que je suis enfant, je pouvais lire les pensées des autres. Mais quand tu es enfant, tu penses que tout le monde peut le faire. Il y avait des gens qui me demandaient de l’aide parce que soit il y avait des difficultés dans le couple soit ils sont tombés malades soit il y avait un enfant avec l’autisme etc

 J’ai commencé à aider des amis, des amis d’amis, etc.

Un jour, j’ai dû me décider : est-ce que je fais la carrière de prof ? Parce que je travaillais parfois 20h par jour, en tant que prof et thérapeute, en même temps. Pendant tout ce temps, je voyageais beaucoup, en Cambodge, Vietnam, Russie, Égypte, plusieurs fois en Angleterre, pour apprendre sur l’éveil, la conscience, et les méthodes de guérison. Après 4 ans, de mes 30 ans jusqu’à 34 ans, c’était surtout pour m’aider moi. Quand j’allais mieux, à l’âge de 38 ans, j’ai décidé de changer ma voie complètement et de faire uniquement les thérapies. C’est vraiment un champ à apprendre sur comment l’humain est constitué, sur tout le niveau de conscience, comment on peut aider, comment on peut être bien.

Puis j’ai fait des initiations à des rayons de maîtres ascensionnés. Après, avec le premier rayon de Gaia de la terre, quand j’ai commencé à voir les auras des gens, j’ai commencé aussi à parler à un Maître Ascensionné qui s’appelle Kutumi. C’est lui qui me donnait, beaucoup de savoir, ce que moi j’appelle une bibliothèque universelle, sur les lois de l’univers, les portails.

Après 15 ans de tout ça, j’ai créé ma propre méthode, à travers laquelle j’enseigne les lois universelles et les portails. Puisque Jérôme, mon compagnon, est le prof de kundalini yoga, j’ai commencé aussi il y a 8 ans. Maintenant, j’ai des écoles en ligne.

Souffrance et réveil

Moi, dans ce que j’entends de ce que tu racontes, en fait, il y a eu quand même un moment où il y a eu comme un déclic chez toi. Où tu as eu des traumatismes dans l’enfance qui t’ont amenée à vouloir te soigner. C’est ça qui a déclenché l’éveil. Après, tu as travaillé à développer cet éveil et à développer les compétences que tu pouvais avoir. Il y a eu un moment avec un déclic, en fait?

Oui, je pense que l’enfance très difficile y a joué. Même à l’âge de 9 ans, pendant des mois et des mois, seule dans un appartement. Toujours en ayant peur de « quand maman va venir de l’hôpital, et si elle va être bien, et si elle va survivre. » Ça te relie à l’essentiel et ça t’apprend la gratitude. Mais quand tu es adulte, cet enfant, il faut le guérir et l’aider. En quelque sorte, j’apprenais comment être la mère à ma fille intérieure. Quand ma mère est morte quand j’avais 20 ans, 21 ans. Toute mon enfance, tout le focus, c’était « qu’est-ce que je peux faire, comment je peux être une fille sage pour que maman soit fière et qu’elle survive ».

Consommation et somatisation

Quand elle n’était plus là, c’est quoi le repère, c’est quoi le sens de la vie? Alors, je me suis mise énormément dans le travail, dans l’enseignement, la méthodologie, la didactique, la pédagogie. C’était en quelque sorte bien parce que c’est mieux que d’aller dans les drogues. Au moins, j’ai servi à la communauté. C’étaient les moments où j’ai oublié à ce qui s’est passé. C’est très vite après le décès de ma mère que j’ai commencé à avoir des problèmes avec le ventre. Plus tard, on a découvert que j’avais découvert moi-même que j’avais la  maladie cœliaque, j’étais allergique au gluten. Ça a peut-être déclenché ce choc. À l’époque, c’était pas connu. Du coup, les médecins disaient que j’étais dépressive, que j’imaginais que je m’ennuyais. Moi, je pensais en réalité que la vie sera trop courte pour faire tout ce que j’aime.

Ça a duré 10 ans, avec tous les problèmes, les diarrhées, et tout ça. Tout ce que je mangeais, j’avais un grand ventre, je pouvais plus bouger. Du coup, je mangeais presque plus rien et je faisais des allers-retours chez les médecins. Ils ne me croyaient pas. J’ai tout abandonné.

Cette allergie au gluten a tellement progressé qu’à la fin, je pouvais plus dormir, j’ai dû être assise pour dormir. Ça a attaqué mon cœur, la respiration, toutes les fonctions comme si tu avais l’artériosclérose. Je pouvais plus faire ça ou tenir la classe à l’école. J’avais très mal à mes hanches. Quand j’ai fait la radio, ils ont dit que j’avais plus de cartilage et que c’est très probable que j’allais être sur une chaise roulante. Là, c’était le choc.

Je me rappelle cette soirée, j’ai lu le livre de Louise Hay, « La vie est à toi ».

Et en ce livre, je me suis rendu compte que je n’ai jamais vraiment vécu ma vie, que c’était la plupart du temps autour de ma mère, ou après, pour les enfants, ou pour les autres. Parce que c’est ainsi que j’ai géré la situation, la tristesse, et la perte de ma mère, et le sens de la vie.

Les intestins  étaient dans l’état précancéreux. Là, j’ai dit non, je veux vivre, je veux vivre. Et c’est comme ça que j’ai commencé à chercher.

La place de la souffrance

Est-ce que pas tu peux dire que c’est grâce à la souffrance que l’éveil est venue à toi?

Je ne sais pas si je peux dire « grâce à ». En tout cas, je ne le souhaite pas à tout le monde.

Beaucoup de fois, les gens après le décès de ma mère me disaient, parce qu’ils essayent d’aider,  « mais tu sais, au moins tu es forte, tu es une femme jeune formidable. » Mais à ce moment-là, je ne leur ai rien dit, parce que je savais qu’ils essayent de trouver des mots pour m’aider, et d’être en compassion. Mais en moi, il y avait ça : « mais je m’en fiche que je sois une bonne personne. Moi, je veux ma maman ». C’est sûr que sans cela, je ne sais pas qui je serais aujourd’hui mais je pense qu’il faut un moment aussi dire stop à la souffrance, et chercher les moyens comment progresser dans la vie, comment élever la conscience aussi avec la joie.

Je  peux  maintenant regarder en arrière comment les méthodes de l’éveil  m’ont changé, en tout cas dans l’environnement où j’étais. Parce qu’avec le groupe où on pratiquait cette méthode des rayons des planètes,  on cherchait tout le temps ce qui ne va pas avec nous, quel cheminement négatif émotionnel ou mental j’ai dans mon inconscient, subconscient, semi conscient, conscient.

N’oubliez pas de vivre!

 On disait toujours, « ah, moi, je suis dans le processus de ça, je suis dans le processus de pardon, je suis dans la colère, je suis dans les doutes. » Mais à un moment, je me rappelle, je pense que c’était après 4 ans de tout ce travail, tout le temps chercher, qu’est-ce qui ne va pas, qu’est-ce qui ne va pas, je suis encore une mauvaise personne, j’ai encore la colère, j’ai encore le doute, j’ai encore des peurs. Là, je me suis dit, » on a passé 6-7 heures chaque mardi soir ensemble. Après 4 ans, je leur ai dit, mais je connais tout sur vos vies passées, mais qui êtes-vous? » On a oublié de vivre. Et j’ai oublié de vivre pendant ce temps.

 La vie, c’est aussi, maintenant je fais mon yoga, et après je laisse le Kriya que j’ai choisi, ça veut dire la suite des exercices, si j’ai choisi le kriya pour les reins, ou  pour avancer dans la vie, ou pour les hormones, les mantras, les asanas, etc. Mais après, je laisse cette technologie de travailler pour moi, et après, je vis.

 Et maintenant aussi, à mes clients, ou à mes élèves, je dis, n’oubliez pas de vivre. C’est super que vous voulez lire des livres, c’est super que vous faites le yoga, c’est super que vous méditez, mais n’oubliez pas de vivre. Et surtout, ne soyez pas des consommateurs. Pour moi, ça c’est mon expérience,  tous mes corps, (le corps physique, éthérique, émotionnel, mental, spirituel, et causal) ne peuvent pas digérer tout ce que je leur donne. Moi, je dis, mais on peut avoir 10 gâteaux végans super bons, sans gluten bien sûr. Mais si je mange un morceau de tous ces gâteaux, je vais vomir, ou je ne vais pas être bien. C’est pareil, je pense aussi à.

 J’étais consommatrice comme ça aussi, je cherchais, tout me fascinait. Et quand tu as, après, plus de savoir, et quand tu commences à les relier, et comprendre, n’importe quel livre tu lis. Et surtout, c’est important de mettre ça dans la pratique, parce que sinon, c’est pas intégré en fréquence. Je peux avoir des savoirs, mais ça va pas faire partie de ma conscience. Il faut prendre le temps d’incarner.

La place du mental dans la manifestation

Le mental peut être découpé en 3 parties : mental positif, négatif et neutre . J’explique ça très souvent, à partir des savoirs des trois mentaux de Kundalini Yoga.

Le mental, c’est un outil que Dieu, ou la force vitale, ou la source nous a donné pour fonctionner.

Qu’est-ce que le mental

 Il y a 20 ans on disait le mental c’est mauvais, c’est pas spirituel. Or le mental c’est l’âme.

Il  y a le mental divin et après c’est assez compliqué comment le mental humain se développe. Le mental humain, s’il est équilibré, il fonctionne comme le mental divin. Ça veut dire qu’il n’y a que des visions positives ou de haut potentiel.

Le mental négatif

Et le premier mental négatif ça se développe après quelques mois quand on est né, et il est là pour nous protéger du danger. Il va nous dire ne touche pas le feu, ou ne va pas à gauche, et il est vraiment fait que pour nous protéger, on devrait vraiment l’utiliser, je sais pas, une fois dans la semaine, ou une fois dans le mois.  Mais comme il n’est pas équilibré la plupart du temps, il se lie avec notre inconscient et subconscient, et avec nos blessures ou le cheminement négatif.

 Il va dire :  « tu n’es pas belle, tu ne vas pas réussir,… » . Il va nous faire douter, il va nous mettre dans les peurs, etc. Et ça veut dire que la plupart des personnes restent la plupart du temps dans la journée dans le mental négatif pas équilibré. Ils ne laissent  pas que la place au reste.

J’explique ça comme trois acteurs au théâtre (j’ai été prof de théâtre). Ca montre comment tous les savoirs peuvent nous aider à expliquer.

Imaginez les trois acteurs, le premier c’est le mental négatif, il doit venir sur le podium, il va dire ne va pas à gauche. Il va tout de suite partir s’il est équilibré. Mais non, il reste là des jours et des fois des semaines et des années. Alors, il devrait dire bye-bye et laisser la place au mental positif qui est là pour trouver les solution ou pour dire ce que je, ce qu’il y a à faire.

Le mental positif

 Le mental positif, s’il n’est pas équilibré,  va nous faire toujours créer des problèmes pour qu’on cherche des solutions.

Alors, si vous êtes des personnes qui  êtes en train tout le temps d’aider aux autres, tout le temps d’essayer de sauver les autres, ou d’avoir toujours des problèmes dans lequel il faut toujours sauver, sauver, sauver, ça veut dire que le mental positif n’est pas équilibré.

Ce mental va toujours dire oui, fais ça et ça. Le livre, cet atelier, range la maison. Il va donner plein de tâches. Et là on peut devenir le consommateur de quoi que ce soit, des cigarettes, ou de trop de thérapie, ou de trop de sommeil, ou trop de travail.

Tous les trois devraient être là juste pendant 7-9 secondes, et il faut toujours que ça suive. D’abord, c’est le négatif, après c’est le positif, et le troisième est le neutre.

Le mental neutre

Et le neutre, c’est celui qui sert à l’amour, à des lois de l’univers, et à notre destinée. Qui on est vraiment, et pourquoi on est là. Sauf que  lui s’il n’est pas équilibré, il va écouter le mental négatif et positif, et négatif et positif « je vais à gauche, je vais à droite, je vais à…, et il décide pas ». Mais s’il est équilibré, il va dire ce qui est le mieux pour nous.  Ça veut dire qu’il est relié au cœur, et c’est de cette façon que le mental est à notre service, au lieu que nous,  nous soyons  au service de notre mental.

 Ca m’a beaucoup aidé d’accepter mon mental comme un grand outil et comment l’utiliser, euh, dans la vie de chaque jour. Et quand tu as ces savoirs, tu peux tout de suite voir, « ah, lui il a un mental positif pas équilibré. »

Dans les couples, c’est trop drôle parce qu’il y a toujours quelqu’un avec, par exemple, le mari, le mental négatif, et la femme, le mental positif.

Et tu vois comment il se bat et comment après dans les thérapies, tu peux, les aider à trouver le pont qui est le mental neutre de chacun d’eux. Il  y a des solutions et l’apaisement et la guérison, etc…

C’est bien de savoir le mental au service du cœur. Souvent, quand on parle de spiritualité, on le voit comme un ennemi, on veut même ne pas en entendre parler. Alors qu’il est là aussi à notre service, il fait partie de nous. C’est notre GPS, il faut juste qu’il soit au service de notre âme.

Le pouvoir de manifestation

On sait que pour manifester, il y a une partie de visualisation, et ça c’est le mental qui le fait.

Quand j’explique la manifestation,  je dis aux gens si vous avez un désir, essayez de ne pas trop analyser. Est-ce que c’est bon, est-ce que c’est le désir de l’ego, de mon âme….

Je vais vous parler  de mon cas, de mon déménagement.

L’exemple concret de manifestation de Katarina

Plusieurs fois dans ma vie ça s’est passé.  En 2008 en 2 mois, j’ai arrêté une relation de 18 ans, ça veut dire que  j’ai laissé aussi la maison qu’on bâtissait ensemble. J’ai laissé ma carrière de 18 ans de prof. Je fais tout au rien,  je conseille pas ça mais c’est très souvent l’âme qui décide, qui nous met sur le chemin.Je savais pas comment j’allais vivre, survivre.  Le proverbe du poète Rumi  m’a aidé : « tu as pas besoin de savoir le chemin, comment tu vas faire en avance,  c’est en marchant que le chemin va se montrer. » Très souvent on essaie d’avoir toutes les réponses. On va chercher dans les livres, dans les méditations  mais c’est en marchant que la voie va se montrer.

 J’avais ce désir de trouver une maison où j’allais me sentir bien. Kutumi m’expliquait de façon très simple.  Tu as le corps physique, le corps émotionnel, mental et spirituel. C’est comme ça que tu vas manifester.  Dans le corps spirituel, il y a ce désir pour la maison où tu vas être chez toi, ça va être ton temple. Je savais aussi que cette maison j’allais la faire de ma façon, toute seule, pas avec un homme.  Si un homme arrive, il peut venir mais là ça va être pour moi. Après tu as le corps mental  pour la visualisation, pour les idées.  J’ai donc utilisé mon mental pour visualiser. Je voyais des arbres, tout ce que je voulais, de l’eau à côté, plein de mousse..J’adore la nature, la pierre, tous les éléments…

Après c’est le corps émotionnel qui est entré en jeu. Je vais sentir comment je me sens dans cette maison, comment je me sens quand je bois un thé, je regarde par la fenêtre il y a la neige qui tombe ..J’ai utilisé mon corps émotionnel pour manifester. Au niveau physique, il fallait appeler les agents et commencer à chercher la maison. On n’a pas besoin soin de visualiser et sentir pendant 5 heures, tu fais ça en 3 minutes et après tu fais l’action. Le fait de visualiser,  j’appelle ça la façon féminine de création et après on passe à l’action c’est la façon c’est masculine.  

Et puis j’ai écrit tout cela sur une liste. Je l’ai encore en Slovénie, cette lettre. J’ai écrit tout dans le présent, c’est pas « je veux« , euh, c’est « j’ai ma maison, je me sens bien, je me sens soutenue par les éléments, par l’eau », et cetera. Ce n’est pas « je vais être heureuse quand », c’est tout dans le présent. Je relisais cette lettre et  après, je passais à l’action.

Les blocages et empêchements à la manifestation

Quand vous faites cela, c’est vrai qu’il peut y avoir les blocages qui vont se montrer, mais c’est le cheminement qui ressort. Par exemple, à l’époque je voulais avoir une voiture sportive cabriolet sans toit. Je me voyais les cheveux dans le vent … Moi, une fille très simple de la ferme qui ne voulait pas d’attention ou qui voulait pas être vue.. Je me suis dit, mais « d’où est-ce que ça vient ». Là, je me rappelle ce qui est ressorti quand je me voyais avec cette voiture : qu’est-ce que les gens vont penser de toi, tu n’as pas assez d’argent pour ça, mais c’est pas le plus important dans la vie.

….la suite dans un prochain article

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