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Les facteurs qui entravent la liberté intérieure

Sans exception, nous recherchons tous la liberté intérieure en gérant les entraves qui sont sur notre chemin. Cette recherche est parfois très consciente parfois totalement inconsciente mais j’ai cette conviction que nous avons tous cette quête de vérité profonde.

La liberté intérieure fait référence à l’état de liberté mentale, émotionnelle et spirituelle. Cela implique une capacité à faire des choix conscients et à agir en fonction de ses valeurs et de ses convictions, plutôt que d’être influencé ou contrôlé par des peurs, des désirs ou des pressions extérieures.

Je repères des entraves notables sur notre chemin. Elles sont essentielles à identifier pour pouvoir respirer dans sa propre vie. Nous allons les étudier et voir quelques pistes d’évolution.

Première entrave à la liberté : le manque d’autonomie

Cela est bien sûr une évidence. Si nous ne sommes pas autonome, nous ne pouvons nous sentir libre. Mais je souhaite évoquer quelques subtilités. Le manque d’autonomie se référant au manque de Soi.

Qu’est ce que le manque d’autonomie

Nous parlerons ici plus de l‘autonomie émotionnelle que de l’autonomie et de l’indépendance matérielle. Nous savons bien mieux nous débrouiller avec notre portefeuille qu’avec les émotions même si nous ne sommes pas à l’aise avec l’argent. Il suffit de voir toutes les personnes qui souffrent de « dépendance affective ».

Nous sommes très peu à l’aise de manière générale avec nos émotions. En effet nous ne les vivons pas sur le moment. Ce que nous croyons être une émotion est en fait juste du « dégueuli émotionnel » comme dirait Christophe Allain. Nous exprimons des émotions ressassées qui sont éloignées de ce qu’elles sont à la base.

Le manque d’autonomie, c’est être toujours dépendant des parents émotionnellement. C’est le cas lorsque nous avons du etre le parent de notre parent. Ces situations ne sont pas voulues mais elles sont fréquentes. A force d’avancées dans ces domaines de quêtes intérieure, je connais de plus en plus de personnes aux claires avec le domaine émotionnel. Toutefois, je pense qu’elles sont encore trop peu nombreuses.

Nous sommes dans l’attente de la réaction de la personne en face de nous pour savoir comment se positionner.

L’autonomie implique d’avoir une conscience émotionnelle, de savoir identifier et nommer ses propres émotions, ainsi que de les exprimer de manière saine et appropriée. Elle permet également de prendre des décisions rationnelles plutôt que d’être influencé par ses émotions de manière excessive ou inadaptée.

Comment atteindre l’autonomie

Atteindre l’autonomie émotionnelle peut être un processus complexe qui implique de travailler sur soi-même de manière constante.

Tout d’abord, mettez en place un travail de conscience. Ce travail consiste à regarder ce qui se passe dans votre vie. Observez notamment les éléments récurrents. Il convient aussi de prendre le temps d’identifier et de nommer ses propres émotions, ainsi que de comprendre ce qui les déclenche. C’est un travail qui peut se faire seul ou accompagné d’un thérapeute compétent pour les sujets les plus profonds.

Un travail en conscience sur l’arbre généalogique peut vous apporter beaucoup. Il aidera à conscientiser que vous êtes un être à part entière bien que dès la base vous êtes déjà fortement influencé par les circonstances de votre naissance. Je vous conseille le livre d’Alejandro Jodorowski sur la métagénéalogie : la famille un trésor et un piège

Il faudra aussi accepter les émotions plutôt que de les juger ou de les supprimer. Elles sont des informations importantes sur soi-même.

Vous pourrez les réguler si vous vous sentez dépassé en utilisant des techniques de respiration profonde, de méditation, ou de relaxation ou en utilisant les méthodes PEAT dont nous reparlerons.

Développer des compétences de communication peut aussi aider à exprimer ses émotions de manière saine et constructive, ainsi qu’à résoudre les conflits de manière positive.

La quête d’autonomie prend du temps. Ne soyez pas impatient. Communiquez là dessus. Il n’est pas toujours nécessaire de voir un thérapeute, un ami peut mais il n’est pas toujours objectif. Un groupe de discussion serait aussi une bonne aide :

Les entraves suivantes peuvent être inclues dans cette première mais elles peuvent selon vos problématiques être les principales à travailler.

La 2ème entrave à la liberté : la peur du jugement

Si nous sommes tributaires de ce que l’autre va penser, de sa façon réagir, nous sommes incapables d’être libre. Nous chercherons toujours à lui plaire ou à éviter le conflit. Il ne faudrait pas être fragilisé!

La peur du jugement peut avoir des causes diverses, telles que des expériences passées de rejet ou d’humiliation.

Il est également fondamental de se rappeler que tout le monde est jugé par les autres à un moment ou à un autre. Juger est naturel, il s’agit juste d’avoir des opinions. Condamner est bien différent. toutefois, les opinions des autres ne devraient pas définir notre propre valeur.

En apprenant à se concentrer sur ses propres objectifs et valeurs, il est possible de réduire la peur du jugement et de vivre une vie plus épanouissante. Vous voyez le monde à travers le filtre que vous souhaitez y mettre. En fixant votre ligne de conduite dans votre vie dans tous les domaines et en devenant sainement égoïste, vous grandirez en liberté.

La 3ème entrave à la liberté : le manque de confiance

Le manque de confiance se réfère à un état mental où une personne ne croit pas en ses propres capacités, compétences ou valeur. Cela peut se manifester sous différentes formes, telles que l’incertitude, la timidité, l’auto-dépréciation, la peur de l’échec ou le perfectionnisme excessif.

Le manque de confiance peut avoir des causes diverses, telles que des expériences passées de rejet, de critique ou de traumatisme.

C’est fortement lié à la peur d’être seul.

Pour surmonter le manque de confiance, il est important de se concentrer sur ses forces et ses réalisations plutôt que sur ses faiblesses ou ses échecs. Cela peut impliquer de fixer des objectifs réalistes et atteignables, de se donner des encouragements positifs.

Il est important de s’atteler à faire des choix qui ancrent dans une dynamique d’action et de comprendre aussi les éléments suivants.

Un seul choix : la peur ou l’amour

Nous pensons globalement avoir une palette de choix. Les personnes en manque de confiance se tourmentent beaucoup avant de choisir. Elles pensent qu’il y a un BON choix à faire, qu’il ne faut pas se tromper.

En réalité, nous ne choisissons qu’en fonction de deux critères : la peur ou l’amour. Avancer dans l’amour, c’est emprunter un chemin qui vous fait ressentir la joie, le calme, la satisfaction, le contentement, la paix, la plénitude. C’est un choix qui vous élève, qui vous nourri et qui vous fait vous sentir parfaitement à la bonne place.
Lorsque vous êtes dans l’amour, les choses sont fluides, simples, faciles, évidentes. Vous vous sentez bien, heureux, apaisé à l’intérieur de vous.

Malheureusement, pour des questions de sécurité, d’attaches nous choisissons souvent par peur.

La question de la confiance c’est la question de la confiance en la vie en générale. Elle vous apporte ce qu’il vous faut si justement vous gardez cette confiance.

Cultiver l’intuition

Je vous invite à cultiver votre intuition pour avoir plus confiance. Cela vous aidera à être moins soumis aux ressassements, aux inquiétudes.

L’intuition est une forme de connaissance ou de compréhension basée sur des informations non rationnelles ou non verbales. C’est écouter ses sentiments, ses impressions ou des intuitions.

Elle aide à prendre des décisions rapides et efficaces, en fournissant des informations que le raisonnement rationnel peut ne pas prendre en compte. Elle peut stimuler la créativité en aidant à explorer de nouvelles idées et approches, en dehors des sentiers battus. Elle améliore la perception de soi.

N’ayez pas peur, vous ne risquez rien.

Pour cultiver l’intuition, il est important de prendre le temps d’écouter ses propres sentiments et de se connecter avec sa sagesse intérieure. Outre des techniques de détente déjà citées, je vous conseille de tenir un journal de vos impressions et idées.

L’intuition ne doit pas être considérée comme une source unique de connaissances ou de décisions. Le raisonnement rationnel et la réflexion critique sont tout aussi importants. La clé est de trouver un équilibre entre les deux et d’apprendre à utiliser l’intuition comme un outil supplémentaire pour prendre des décisions éclairées et atteindre ses objectifs.

La 4ème entrave à la liberté : le manque de discernement

Le manque de discernement laisse place à l’influence, à la prise de pouvoir des autres sur nous.

Le manque de discernement est l’incapacité de faire des choix judicieux ou de prendre des décisions éclairées.

Le manque de discernement peut avoir des conséquences telles que des erreurs de jugement, des choix inappropriés ou des décisions regrettables.

Pour garder sa capacité de discernement, vous apprendre et continuer à penser par vous même. Ne jamais croire d’emblée ce qui vous est dit. Vérifiez ce qui vous est important. N’écoutez jamais qu’une version d’un discours quelque soit le domaine : professionnel, personnel, sociétal…

N’ayez pas peur de perdre du temps à réfléchir.

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