Plongeons au cœur de la géométrie sacrée avec Jérôme Bougon, créateur de la Terre Diamant et de la Métagénesis.

Ces formes ne sont pas de simples objets, elles rayonnent une fréquence particulière qui nous aide à ouvrir un espace sacré en nous, à retrouver présence et harmonie.
Pour voir l’entretien en vidéo c’est ICI :
Table
Une rencontre mystique à l’origine d’une vision
En 2004, autour d’un feu sacré, Jérôme vit une expérience mystique qui le connecte à la grille de conscience christique ou cristalline – la « grille diamant ». Un champ de conscience unifié qui relie tous les êtres, au-delà des rôles de « gentils » ou de « méchants ».
De cette vision est née la Terre Diamant, une structure contenant 915 fois le nombre d’or. À titre de comparaison, la pyramide de Khéops ne contient ce rapport harmonique qu’une quinzaine de fois.
Or, le nombre d’or est présent dans toutes les manifestations de la vie : la spirale de Fibonacci dans les coquillages, l’ADN, la glande pinéale… C’est la trame de l’univers.
Ainsi, par effet de résonance, la Terre Diamant ré-harmonise nos proportions intérieures et nous relie à un niveau de conscience plus élevé.
La Métagénesis : une genèse au-delà de la polarité
En cheminant, Jérôme découvre également la Métaagénesis – une forme complexe inspirée de la fleur de vie en 3D et de la structure du vide. Cette géométrie contient notamment un champ de 64 tétraèdres formant une merkaba, symbole d’un potentiel vibratoire immense.
La Métagénesis évoque l’autogenèse, la capacité de régénération par soi-même, sans besoin de polarité. Elle agit comme un catalyseur qui « booste notre lumière intérieure », favorisant l’éveil de la conscience et l’ancrage profond dans le soi.
Créer un espace sacré en soi grâce à la géométrie sacrée
Travailler avec ces formes, c’est aussi accepter un chemin parfois exigeant. Plus de lumière signifie aussi plus de zones d’ombre révélées. Cela demande courage, volonté de se confronter à soi et de transformer ses habitudes. Mais c’est un passage nécessaire pour élever sa conscience et contribuer à l’évolution collective.
Comme le rappelle Jérôme, l’espace sacré n’est pas réservé aux temples ou aux lieux vibratoires. Un véritable maître peut générer un espace sacré partout, même dans les sous-sols du métro new-yorkais. Cet état de présence déborde naturellement, rayonnant comme un soleil autour de nous.
Vers un monde de lumière et de partage
L’objectif est clair : ne pas subir la conscience collective mais y participer en conscience, en lion et non en mouton, en portant sa vérité. La Terre Diamant et la Métaagénesis deviennent alors des alliées pour incarner un monde de lumière, de solidarité, d’amour et de compassion.
Jérôme nous invite à nous rappeler que le sacré se trouve d’abord en nous et que nous avons la capacité de le nourrir et de le rayonner.
Si vous souhaitez découvrir ces formes, elles sont visibles lors de mes séances à Montpellier : soins corporels et énergétiques, libération émotionnelle et cours de yoga.
Aurélie : 06 46 15 34 43
www.verite-interieure.com
6 réponses à “La puissance de la géométrie sacrée pour ouvrir un espace sacré en soi”
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Ton article transmet une belle énergie et rend la géométrie sacrée beaucoup plus vivante qu’un simple concept théorique. J’aime la façon dont tu relies ces formes à l’expérience intérieure, à la présence et au courage de transformation. Ça donne envie de les explorer comme des alliées pour créer plus d’harmonie en soi et autour de soi !
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Je t’invite à tester effectivement et voir ce qui résonne en toi.
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Cet article résonne profondément avec ma pratique artistique, la géométrie sacrée devient un festival de lumière intérieure. Plus de lumière signifie aussi plus de zones d’ombre révélées, et c’est cette dualité qui nourrit ma création. 😉
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très joli cette notion de festival de lumière intérieure
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J’aime beaucoup l’idée que « plus de lumière révèle aussi plus d’ombre ». Ça sonne vrai, cash, et tellement nécessaire. Pas de quête spirituelle sans courage d’aller gratter dans les coins sombres… La géométrie sacrée devient alors une boussole autant qu’un miroir.
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Eh oui, comme le dit Annick de Souzenelle, il faut aller savoir descendre pour remonter vers la lumière
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