La pression pour faire le bon choix serait à priori un phénomène courant dans la société moderne.
Avec l’accès à une quantité incroyable d’informations en ligne et les réseaux sociaux qui amplifient les voix et les opinions des autres, il est facile de se sentir submergé par le poids de la décision.
Cette pression peut provenir de différentes sources, comme la famille, les amis, les collègues de travail ou même les étrangers sur les réseaux sociaux. Les gens peuvent se sentir obligés de faire le choix qui est le plus populaire, le plus socialement acceptable ou le plus en accord avec les valeurs dominantes de la culture.
Cela peut avoir des conséquences négatives sur la santé mentale, en particulier pour ceux qui ont tendance à l’anxiété ou à la dépression. Les individus peuvent ressentir une pression pour atteindre des normes élevées et peuvent se critiquer sévèrement.
Le perfectionnisme peut être toxique. Et nous ne nous laissons pas le droit à l’erreur. Déjà, à l’école nous sommes conditionnés à ne pas comprendre le bénéfice de l’apprentissage de nos erreurs
Il est important de se concentrer sur le processus de prise de décision plutôt que sur le résultat final, et de reconnaître que chaque choix que nous faisons nous donne une opportunité d’apprendre et de grandir.
Le poids de la normose dans la balance des choix
Définition- Problématique
La normose est un état mental dans lequel une personne accepte et adopte sans discernement les normes et les standards de la société sans les remettre en question.
C’est une forme d’aliénation qui peut mener à une perte de la créativité, de la spontanéité et de l’authenticité. Les individus atteints de normose peuvent avoir des difficultés à penser par eux-mêmes, à exprimer leurs propres opinions et à vivre leur vie de manière satisfaisante, car ils sont trop préoccupés par la conformité aux normes sociales.
C’est un problème de santé mentale, car elle peut limiter la capacité des individus à explorer et à exprimer leur propre identité.
Elle peut entraîner des sentiments de dépression, d’anxiété et d’insatisfaction. En fin de compte, cela peut conduire à une perte de sens de la vie et de la motivation.
Ferdinand Wulliemier dans la « normose peut-on s’en libérer ? » nous dit que la normose affecte un large pourcentage de la population dans le monde. Elle est le signe d’un développement incomplet de l’être humain qui se manifeste par un ensemble de comportements, d’habitudes et d’attitudes repérables. Une sentiment de malaise s’ajoute. Celui-ci est masqué par des activités compensatoires utilisées comme moyens de diversion.
En conséquence, ce type de malaise n’est pas reconnu comme problématique dans notre société actuelle, puisque l’individu atteint de normose – le «normosé» – est à la fois normal et anormal.
La bonne question à se poser à mon sens est donc plus : est ce que tout en satisfaisant mon besoin d’appartenir à un groupe, à une société, je continue bien de m’appartenir ?
Comment dépasser cet état?
Pour surmonter la normose, il est important de reconnaître les normes sociales qui limitent notre liberté et notre créativité, et de prendre conscience de nos propres valeurs et de nos besoins uniques.
Cela peut impliquer de remettre en question ces normes sociales et de suivre notre propre chemin, même si cela implique d’aller à l’encontre de ce qui est considéré comme « normal. »
Il peut également être utile de réduire la quantité de temps que nous passons sur les réseaux sociaux et à laisser de côté les normes imposées par la société pour nous concentrer sur ce qui est important pour nous-mêmes. Enfin, n’oubliez pas que parler à un professionnel de la santé mentale peut aider à gérer la pression sociale et à trouver des moyens sains de prendre des décisions qui répondent à nos besoins et nos valeurs personnelles.
J’ai pu aussi expérimenter les problématiques du choix avec les méthodes de libérations émotionnelles que je vous propose (libération et transcendance de l’énergie primordiale) . Celles ci peuvent permettre d’amener beaucoup de clarté quand nous sombrons dans une problématique
Pour plus d’information sur la normose :
Comment savoir quel est le bon choix à faire
Les travaux de Philippe Guillemant sont très intéressants pour comprendre ce qui se joue en nous quand nous prenons des décisions. En tant que physicien, le discours est bien sûr très différent de la psychologie et amène donc une dimension très utile. Je vous résume ici succintement ses idées mais n’hésitez pas à aller plus loin en vous intéressant à ses travaux.
Un choix intérieur
Le bon choix c’est l âme qui permet de le faire.
L’âme, c’est notre guide. On s’y connecte par le déconditionnement du mental par le lâcher prise, par celui de l’émotionnel en se faisant confiance. L’indice de la bonne route est la joie.
Pour aider le déconditionnement, il peut être utile d’aller visiter ses croyances
Cette joie bien différente des faux plaisirs de la simple consommation. Conserver le sens du merveilleux est la voie vers la vérité
Il va falloir se méfier du cerveau qui veut nous faire croire qu’on a réussi. Il veut toujours s’attribuer mérites.
Le bon choix implique aussi le bon moment pour agir
On peut pas comprendre libre arbitre si on a pas compris le temps
Notre futur existe, c’est d’ailleurs ce que peuvent voir certains médiums mais cela ne veut pas dire qu’il ne peut pas changer.
Lorsque l’on dit que le temps n existe pas, cela veut dire qu’il n’est pas le créateur de ce qui advient. Le futur est déjà réalisé. Mais, il peut changer. Si le futur peut changer c est qu’il est multiple. C’est un territoire. On choisit chemin
Mathématiquement parlant il vient vers nous ou il existe déjà.
Nous construisons notre futur par la pensée. Tout peut changer à partir du moment où on intègre que nous construisons notre monde à partir du mental.
La modification de l’espace-temps se fait dans le présent. C’est là que l’on peut changer notre trajectoire de vie.
Et ce futur se crée en y investissant la foi, la joie et l’intuition. Ceci est aussi valable lorsque nous n’avons pas les compétences pour réaliser ce que nous souhaitons. En effet, Dans la peur c’est le futur du pire qui s’impose car la vibration est très basse. Son existence ne veut pas pour autant dire que le chemin est le mauvais bien au contraire. Cela peut être une invitation à la dépasser et agrandit sa zone de confort.
Le meilleur outil : la conscience
Comme le dit Philippe Guillemant, « tout est conscience, il n’y a rien de plus objectif »
Certaines actions ne changent pas la vie, d’autres même toutes petites vont tout bouleverser.
Rester dans son conditionnement relève de notre libre arbitre.
La conscience va changer la condition finale. En changeant la vibration du soi, on peut avoir une action sur notre futur. Il ne s’agit pas de basse ou mauvaise fréquence comme on peut l’entendre dans certains milieux, de question de mal ou de bien. C’est l’idée d’amener toute une symphonie en soi, d’augmenter ses résonnances.
L’intention est captée dans cette vibration du soi. Voilà pourquoi la vibration de la joie nous donne la réponse, c’est elle qui fait réaliser les rêves. Elle vient de l’intérieur. Vous pouvez la distinguer du simple plaisir qui lui vient de l’extérieur. Le ressenti est donc le guide.
Je vous invite à prendre du recul si vous sentez les tourments du mental et de vos émotions prendre le dessus ainsi qu’à expérimenter. Sans passage à l’action, nous ne pouvons savoir.
Joyeusement Vôtre
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